Jenna Ortega revient dans un film aussi audacieux qu’inattendu : une comédie horrifique où une licorne devient l’objet de toutes les convoitises. Entre humour noir, mystère et performances captivantes, « Death of a Unicorn » promet une expérience aussi étrange que fascinante. Oserez-vous plonger dans ce conte tordu ?
Jenna Ortega et Paul Rudd : le duo improbable d’un film délirant et sanglant
L’horreur continue de fasciner, et Jenna Ortega, figure montante du genre, confirme son statut avec un nouveau projet intrigant : "Death of a Unicorn". Après son rôle marquant dans Mercredi et sa participation aux récents Scream, l’actrice s’impose une fois de plus dans un univers où l’étrange et le macabre se mêlent à l’absurde. Aux côtés de Paul Rudd, elle embarque dans une comédie horrifique au scénario aussi original que déroutant.
Jenna Ortega et Paul Rudd : un duo inattendu pour une comédie horrifique
Dans « Death of a Unicorn », réalisé par Alex Scharfman, Jenna Ortega incarne Ridley, une adolescente qui, avec son père Elliot (interprété par Paul Rudd), percute accidentellement une licorne. Rapidement, la mystérieuse créature attire la convoitise d’une puissante famille à la tête d’un laboratoire pharmaceutique. Ces derniers découvrent que son sang et sa chair possèdent des propriétés curatives extraordinaires, déclenchant une course effrénée pour exploiter ce trésor biologique.
Le film s’inscrit dans un genre hybride où horreur et satire sociale se rencontrent. Paul Rudd, habitué aux rôles comiques, apporte une dynamique surprenante face à Jenna Ortega, dont le talent pour les rôles sombres et tourmentés ne cesse d’être salué. Ce contraste entre légèreté et tension dramatique promet une atmosphère unique, dans la lignée des films d’horreur teintés d’humour noir comme Cabin in the Woods ou American Psycho.
Le choix d’Ortega pour ce rôle confirme son attrait pour les récits décalés et sombres, tout en lui permettant d’explorer une facette plus caustique du genre. Quant à Rudd, son association avec l’actrice pourrait offrir une alchimie aussi décalée qu’inattendue, portée par un scénario où l’absurde et le grotesque occupent une place centrale.
Une production qui bouscule les codes du genre
Si Death of a Unicorn intrigue autant, c’est aussi grâce à son approche visuelle et narrative audacieuse. Alex Scharfman, scénariste et réalisateur, propose une satire grinçante du capitalisme et de la science sans éthique, où le mythe de la licorne devient le symbole des excès de l’industrie pharmaceutique.
Les premières images et descriptions laissent entrevoir une mise en scène soignée, oscillant entre fantastique et réalisme cru. La créature elle-même, élément central de l’intrigue, promet d’être traitée de manière singulière, loin des représentations féeriques habituelles.
Loin d’être une simple production horrifique, le film cherche à provoquer et questionner, en abordant des thèmes d’actualité sous un prisme grotesque. Dans un paysage cinématographique où les remakes et reboots dominent, ce projet original mise sur une identité forte, portée par un casting charismatique et une approche visuelle marquée.
Avec Jenna Ortega en tête d’affiche, Death of a Unicorn s’impose comme un film à suivre pour les amateurs d’horreur et de comédies noires. Son mélange de satire, de tension et d’humour macabre pourrait bien en faire une œuvre marquante dans le genre.